Kan maktab



Isabelle Klaus (CHE)

Installation / performance
Dimension variable

Enseigne lumineuse extérieure, bureau en métal, fauteuil en simili cuir, dispersion Aqua Dew, 2 néons blancs, chaise en bois, ventilateur, corbeille à papier en plastique, détective privé, sac en plastique, torchy, photographie des pyramides de Guizeh, calendrier mural, plan d’un quartier du Caire, dessin encadré, papier calque, loupe, cendrier, paquet de cigarettes, briquet, stylo bic, cahier administratif, tampon, cartes de visite, téléphone mobile, agrafeuse, rapports, acte de divorce censuré, procuration, 7500 feuilles A4 vierges et photographie du ministère des Affaires extérieures.

«Kan maktab» est un travail qui explore les limites entre la réalité, l’autobiographie et la fiction. L’ensemble de l’installation contient des pièces témoignant de la réalité des faits ainsi que des objets fictionnels. 
La pièce «Kan maktab» est composée de différents mediums comme le dessin, la photographie, le collage, le ready-made et devient performative par la présence du détective ou par l’enquête menée dans la réalité.
Bureau de détective privé actif depuis 1992, date de sa première affaire à ce jour non résolue, spécialisé dans les affaires de mœurs (adultère, divorce, recherche de personnes disparues…)